Zara-vages

Lors d'un petit shopping-trip en Espagne, j'ai beaucoup aimé la nouvelle collection Zara alors que, depuis quelques temps, plus grand-chose ne me tentait dans ce magasin.

D'où ce titre très recherché.

Quelques photos en vitesse, en attendant la rentrée pour les porter :

En réalité, cette robe est vraiment rouge ketchup, ça va être un petit défi de la porter (il est bon de se donner des buts dans la vie), pourquoi pas avec des chaussures assorties?

Une espèce de long manteau léger, dont je me dis qu'il pourra faire une alternative sympa, par temps froid, à mes longs gilets adorés que le Taliban appelle mes peignoirs.

Pour mettre sous la blouse en dentelle de la seconde photo, il me fallait des débardeurs tout simples. Comme je n'aime pas dépenser de l'argent pour ce genre de basique ennuyeux, je les ai achetés chez Lefties. 

D'après une amie madrilène, c'est sous cette marque que sont regroupés les invendus de Zara, à petits prix. J'ai, en effet, payé une quarantaine d'euros pour l'ensemble de ces articles.

Jusqu'à présent, Madrid est la seule ville dans laquelle j'ai trouvé cette enseigne mais mon cher ami Google m'apprend à l'instant qu'il y en aurait aussi à Barcelone, Séville et Bordeaux (ainsi qu'à Paris mais ce dernier aurait fermé).

Enfin, des vernis de chez Kiko, ceux que j'avais acheté pour les tester m'ayant convaincue. Je porte d'ailleurs déjà le n°336 (en haut à gauche), que certaines appellent "le dupe du vernis Majorelle d'Yves Saint-Laurent".

Heureusement que je n'avais qu'une petite valise...

Nailpolish&Holiday

Le mois d'août ayant semble-t-il décidé de compenser la quantité de soleil et de chaleur qui ne nous a pas été prodiguée par le mois de juillet, direction la mer du nord pour profiter des ces délicieux rayons, adoucis par une brise légère.

Trêve de poésie, ce qui est génial à la mer, c'est qu'il y a des magasins Kruidvat à chaque coin de rue (j'exagère à peine) et que ceux-ci ne connaissent apparemment pas la pénurie de vernis Essence et, dans une moindre mesure, Catrice, que l'on connaît actuellement à Bruxelles. Par contre, il faut aimer la sélection de couleurs proposées, ce qui n'est décidément pas mon cas: alors que je m'apprêtais à faire une razzia de vernis pas chers, je n'en ai finalement choisi "que" quatre.

apparemment on a tous eu la même idée...

Sushis à volonté

Quand grosse bouffe a faim, quand grosse bouffe veut se goinfrer de sushis, grosse bouffe va chez Kabuki.

Dans la salle située à l’avant dans ce restaurant, une fois installés le long d’une mini voie ferrée, on attend le passage de petits trains électriques délicieusement chargés de makis, sushis, sashimis mais aussi dim sums, yakitori, salades d’algues, scampis frits et autres délices variés, préparés minute par les chefs de gare. Il suffit de tendre la main pour saisir l’assiette qui nous fait envie lors du passage du petit train… Si personne ne s’est servi avant vous (d’où l’utilité de s’installer en début de parcours).

Souvent les plats arrivent par vague : si rien ne nous fait envie, il ne faut pas hésiter à attendre dix minutes pour que de nouveaux mets apparaissent.

la soupe miso aussi est à volonté



cupcakes glacés chez Haagen Dasz pour le dessert

Qui dit voie ferrée, dit qu’on ne prend pas place autour de tables mais qu’on s’assied les uns à côtés des autres, ce qui ne facilite pas la conversation. Dans le fond du restaurant, il y a des tables traditionnelles, mais il faut alors commander à la carte, ainsi que des teppan yaki autour desquels on peut observer les shows des chefs cuisiniers

Petit bémol : pas mal de makis sont à la mayo et/ou au surimi, malheureusement.

Kabuki

Rue du Marché aux Poulets, 32

1000 Bruxelles

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Moi qui me lamentais de ne rien trouver qui me plaise cet été, je pense que j’aurai fini par faire “soldes honorables”.

En partie grâce à Letizia : alors que je me baladais en ville, j’aperçus l’enseigne Vero Moda.

Suspense.

Je n’y étais pas rentrée depuis un moment mais je me suis souvenue que notre délicieuse résidente espagnole y avait déniché une robe blanche à tomber. J’ai donc franchi la porte d’entrée et, alléluia, des monceaux de vêtements Vero Moda, Only et Vila remplissaient les lieux, pourvus d’étiquettes affichant des prix riquiquis.

Une moisson de cinq vêtements, des œillères pour ne pas regarder la nouvelle collection, un petit tour en cabine d'essayage et un passage en caisse pour un montant minuscule de cinquante euros plus tard, j’étais l’heureuse propriétaire de ceci :

Je crois bien que c'est la même que celle Laeti. Bèèèèèè.

short affiché à 15eur qui est passé à 5eur à la caisse, yeayyy

petit nœud dans le dos

Le pull gris n'est pas vraiment de saison mais, alors que je n'avais plus que la petite blouse rose à essayer, je me suis dit, si elle me va aussi, j'embarque le tout. Dont acte.

Number 2

Toujours la même robe zara, en version rouge cette fois.

Pour l'occasion, j'ai ressorti mes chaussures jaunes fétiches Noë qui m'attendaient sagement dans leur boîte depuis un bon bout de temps... Je les avais presque oubliées, j'en suis terriblement honteuse. 

C'est le grand dilemme des chaussures en fait : soit on les laisse traîner, à la merci de la poussière et des dents du chien (mais ça, ça va, je n'ai pas encore de chien; mon cœur, si tu passes par là, je voudrais un carlin, je sais bien que je te le répète tous les soirs mais des fois que tu n'aurais pas encore compris...), soit on les range dans des boîtes bien à l'abri... du regard, et on les oublie. Mais cela peut parfois donner lieu à de jolies surprises, un peu comme les vêtements jamais portés que l'on retrouve au fond d'une armoire.

Avec un petit gilet zara et sur ma tête, un headband (encore) zara. Il est plutôt pas mal : il ne serre pas trop et reste bien en place.

toute fière de mon nouveau vernis mais on ne le voit pas ^^

"Je fais l'avion"

"qu'est-ce qu'on se marre"